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l'atelier occasionnel de montreuil |
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Des corps tombent, comme une pluie ... Des corps jetés ou sautant, sont figés dans leur chute, fixés en photographie, plaqués sur les murs, dans des poses exacerbées par la pesanteur. Tous ces corps sont des autoportraits multiples et multipliés, ils sont une foule à se disputer la primeur de la chute, la hardiesse de la pose. Pour ainsi dire, puisque de pose, il n'y en a que de photographique; celle la même qui fixe le corps avant l'écrasement au sol. On peut trouver une certaine beauté aux événements les plus violents... Il y a peut être un art de la chute dont la pratique, trop brève, fait de nous des néophytes. |
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